Le 4 décembre est une première dans le monde du bénévolat tarnais. Une journée spéciale pour mettre en avant étude et physiologie du monde associatif pour notre département qui représente 11 000 associations actives soit 100 000 personnes bénévoles et 40 000 toutes les semaines. De plus certaines associations emploient des salariés c’est un poids plus important que le BTP ou le transport, Le bénévolat évolue avec la société avec des difficultés de renouvellement. Même après le Covid, la raison d’être du monde associatif est la force du collectif, d’agir pour la société, un besoin d’aider son prochain . Le bénévolat n’est pas un sacrifice mais au contraire un travail d’équipe, un enrichissement en groupe, une école aux valeurs diverses. L’Organisme associatif Ressource et le délégué d’Etat de la vie associative ont permis pendant une journée de rendre visible par l’intermédiaire d’ateliers, des clefs sous forme d’éducation populaire. Notre association a suivi l’atelier les freins à l’engagement et ses leviers pour entrer dans le monde associatif et l’engagement du bénévole et a assisté à des conférences sur le bénévolat et son environnement. Cette assemblée a rassemblée une centaine de personnes appartenant à des associations départementale ou locale: MJC, APE, ADDAH, sportive, d’insertion,… en fait avec des champs d’action diverses. Que nous venions des plaines au forêts de nos montagnes, des quartiers de nos grandes villes aux clochers de nos campagnes, la base n’est sans aucune doute sans barrière des échanges à travers le partage d’expérience. Ce qui vibre en nous, bénévole, est de servir l’autre dans une cause juste. Malgré nos différences, dès fois très large, je me rend compte de la croyance en cette foi, elle est construite dans l’exclusion intégrale de l’individualisme, de l’intérêt personnel. Mais dans l’objectif de l’entraide une majorité d’ inconnu se trouve dans une sorte d’obscurité qui l’enferme dans un tourment mal être, solitude, manque ou perte de sens. En lui portant un regard, une parole, une attention nous essayons de créer ou de raviver cette flamme en lui. Quel bonheur de le voir revivre! et à travers lui nous aidons plus qu’une personne mais aussi ses proches. En mettant en avant son savoir c’est lui prouver qu’il a évolué avec de nouvelles compétences, lui apprendre en valorisant ses actions dans la culture des défis qu’il entreprends . Ne lâchons rien Camarades, malgré nos années et nos diversités, nos combats sont toujours aussi puissants, continuons de valoriser ce territoire qui nous ouvre vers toujours de plus belles rencontres. Le monde associatif est un appareillage qui guide ou nous pousse tel un booster d’humanité libre de créer, de penser malgré une société en perte de repère dans un culte de la négativité. Depuis deux ans, nous sommes accompagnés par Ressources par l’intermédiaire du dispositif local d’accompagnement (DLA) [ https://fr.linkedin.com/company/ressources-tarn?trk=public_post_follow-view-profile ] . Comme vous le savez, nous nous remettons tous les trois ans en question pour être aux plus prés de Vous, Salarié de la production agricole et au plus clair avec nos partenaires. La vision de changement ou de renouvellement de direction de l’association marche avec la réflexion de l’évolution du projet associatif . L’association c’est votre Unique lieux d’écoute, d’échange et de découverte. Seul on va vite, oui tu as raison mais quel intérêt car Ensemble nous allons Plus loin et ressortons Plus riche. Alors si tu veux essayer, expérimenter; eh bien nous on t’accueillera…en toute convivialité, car nous avons besoin de belles personnes comme TOI.
Tronçonneuse: attention danger!
L’hiver, beaucoup de personnes font leur bois de chauffage et utilisent une tronçonneuse qui est un outil dangereux, qu’il faut manipuler avec précaution.Suivez les consignes de la brochure suivante . En savoir plus
Prévenons le MAL-ÊTRE AGRICOLE
Salariés agricoles vous passez des moments difficiles , parlez en autour de vous .Ensemble tous ces organismes oeuvrent pour vous aider
Renversement de tracteur !
Le renversement de tracteur est la première cause d’accident mortel sur machines chez les actifs agricoles. Chaque année, des salariés et exploitants sont mortellement écrasés sous leur tracteur, des dizaines restent handicapés. Dramatiques dans leurs conséquences, ces accidents laissent brutalement des familles entières en grande difficulté affective, morale et matérielle. Pourtant, il est possible d’agir pour limiter, voire éviter ce risque. Le renversement de tracteur, un risque mortel sous-évalué, pourtant facile à éviter Risque majeur lors de l’utilisation d’un tracteur, le renversement ou le retournement peut se produire sur route ou dans les champs. Sur le territoire Midi-Pyrénées Nord, le bilan est lourd ! Depuis le 15 juin dernier, trois accidents du travail par renversement de tracteur sont à déplorer. Si le troisième est un accident grave, les deux premiers ont été fatals aux conducteurs. Ce constat triste et alarmant vient alourdir le bilan, portant à 33 le nombre d’actifs agricoles tués par renversement de tracteur depuis 2002, soit 16 % des accidents du travail mortels. Force est de constater que chaque année, la profession paye un lourd tribut, en particulier l’été ! Ces accidents mortels surviennent, en majorité, lors des travaux des champs. C’est-à-dire en ce moment. Les protections contre les renversements Conçues pour résister aux chocs et écrasements en cas de renversement latéral ou de cabrage du tracteur, les structures de protection (cabines rigides, arceaux) préservent la zone de travail autour du conducteur. Ce rôle de protection est efficace uniquement si le conducteur reste à l’intérieur de cette zone de travail. Les statistiques montrent que, lors d’un renversement, de nombreux accidents graves ou mortels surviennent malgré la présence d’une structure de protection, si le conducteur : est éjecté ou quitte volontairement le poste de conduite, heurte violemment des éléments du poste de conduit. Assurer une protection optimale en cas de renversement de tracteur Combiner un dispositif de protection et un dispositif de maintien de l’opérateur à son poste de conduite, tel que la ceinture de sécurité, permet d’assurer une protection optimale. En effet, en cas de renversement ou de retournement de tracteur, la ceinture est le seul moyen d’être maintenu et de rester dans la zone de travail. Lorsqu’elle n’est pas bouclée, la plupart des accidents sont graves ou fatals pour le conducteur. La boucler, un geste simple pour sauver sa vie ! Important – Les tracteurs neufs disposent d’une ceinture de sécurité.Dates clés concernant la mise sur le marché – Depuis le 1er juillet 2009, tous les tracteurs neufs disposent de points d’ancrage «homologués» pour pouvoir éventuellement y installer une ceinture de sécurité. Certains ont ces points d’ancrage dès le 1er juillet 2005. – Depuis2017, tous les tracteurs neufs sont vendus avec une ceinture de sécurité. Il est possible d’équiper les tracteurs plus anciens avec une ceinture de sécurité ventrale en utilisant les points d’ancrage ou en remplaçant le siège dépourvu de points d’ancrage. La santé-sécurité du travail de la MSA MPN vous accompagne. Besoin de renseignements complémentaires ? N’hésitez pas à contacter la prévention des risques professionnels – 05 63 21 61 99 – contactprp.blf@mpn.msa.fr Toutes les informations sur : mpn.msa.fr Trailer Box Title I am Trailer Box Description Text. You can change me anytime from settings.
Se former autrement…
De part nos différentes études, nous vous avions montré les apports positif de se former ainsi que les possibilités d’accompagnement que vous pouviez avoir droits : Compte Personnel de Formation (CPF), Compte Professionnel de Prévention (C2P), Projet de Transition Professionnelle (PTP), Validation des Acquis de l’Expérience (VAE), contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation. Car VOUS avez des droits et le meilleur moyen de les utiliser c’est d’en parler dans un premier temps avec votre employeur mais vous pouvez aussi prendre rendez-vous avec un conseiller, via l’association des salariés agricoles ou vous rapprocher des centrales syndicale de votre choix qui vous conseilleront. Malheureusement malgré tout ces conseils, vous hésitez, encore des freins vous entoure empêchant de franchir le pas. Pas d’inquiétude, il y a d’autres axes qui peuvent vous lancer dans le chemin du développement des compétences professionnel. Voici quelques liens : Les plateformes et réseaux Les e-learnings L’expérience https://campnum.com/ https://www.fun-mooc.fr/fr/cours/?limit=21&offset=0&subjects=2778 La Vitibio d’Emilie et Benjamin en 2 mots (youtube.com) https://www.linkedin.com/learning/search?trk=guest_homepage-basic_guest_nav_menu_learning La Galerie du Ver de Terre (verdeterreprod.fr) https://www.youtube.com/@LeJardindEmerveille Les échecs sont des gains. Je ne vais pas vous mentir rien n’est facile et le tout cuit n’existe pas mais faut franchir le pas, personne ne le fera pour vous. Les premiers temps seront dur car pour tous, s’organiser pour se former n’est pas évident. Mais vous pouvez le faire, car en vous, vous avez cette force non déployée qui permettra d’acquérir et d’atteindre des connaissances nouvelles. Sébastien, salarié JEV
Force&Passion 46
Elections Chambres d’agriculture & MSA en 2025
Elections Chambres d’Agriculture en janvier 2025 Comment les salariés agricoles peuvent se situer dans les élections Chambres d’Agriculture en janvier 2025 et MSA en mai 2025 ? Fait rarissime, les élections Chambres d’Agriculture et MSA vont avoir lieu la même année, en 2025. Fait d’autant plus rare que cela n’arrive que tous les 30 ans, les élections Chambres d’Agriculture ayant lieu tous les 6 ans et celles de la MSA tous les 5 ans. Ces rendez-vous démocratiques sont importants pour tout le monde agricole : exploitants, employeurs mais aussi et surtout pour les salariés. Pour ces derniers, c’est une des seules occasions où ils peuvent, en élisant leurs représentants, s’exprimer et ainsi participer aux décisions prises pour l’avenir du monde agricole et rural. Avec ces élections, les salariés agricoles PEUVENT et DOIVENT prendre LES PLACES qui leur sont réservés, dans ces 2 instances que sont les Chambres d’agriculture et la MSA. En Chambres d’Agriculture, sur 33 sièges, 3 sont réservés aux salariés de la production, et 3 autres aux salariés des Organismes Professionnels Agricoles (OPA). Seuls des salariés en activité peuvent siéger. A la MSA, ce sont 3 sièges par canton et 4 sur 9 qui sont réservés, par département, aux salariés affiliés à la MSA, actifs ou retraités. Dans ces 2 instances, en siégeant les salariés de la production peuvent faire entendre leur voix, et ne pas laisser aux seuls exploitants agricoles et employeurs de main d’œuvre, la fait de s’exprimer au nom des salariés. Les salariés de la production sont les seuls à même de parler de leurs métiers, de leurs conditions de travail, des problèmes et difficultés rencontrés, … Quels sont les grands enjeux de ces élections ? Le premier enjeu est d’élire des représentants qui siègent dans ces 2 instances et qui défendent le point de vue des salariés de la production. Qu’ils soient salariés d’entreprises agricoles, forestières, piscicoles, horticoles ou du paysages, de CUMA, de groupements agricoles, …. ils ont leurs propres visions de l’agriculture, du monde rural et de la place qu’ils veulent y prendre. De plus, les résultats aux élections Chambres d’Agriculture permettent de déterminer la représentativité des différentes organisations syndicales de salariés, et ainsi de connaître les syndicats qui pourront négocier localement et nationalement les Conventions Collectives, mais aussi les salaires, les conditions de travail, les prestations de santé et prévoyance,… En étant élus délégués cantonaux à la MSA, les salariés peuvent devenir acteurs sur leur lieu de travail, leur lieu d’habitation. Avec d’autres élus, ils peuvent mettre en place des actions santé, de prévention des risques professionnels, mais aussi participer à des projets collectifs et sociaux. A la Chambre comme à la MSA, les salariés de la production peuvent faire entendre leur voix ! Comment l’engagement peut-il être source d’épanouissement ? Dans la vie privée, ce n’est pas rare que l’on s’engage dans l’école de ses enfants, dans leurs clubs sportifs, dans les associations de sa commune, … Dans la vie professionnelle, on peut aussi s’engager. S’engager pour participer à un collectif, pour être utile, pour défendre ses idées, pour faire connaître son métier, pour agir sur son territoire, … Quelle que soit la structure dans laquelle on choisit de s’investir, c’est un moyen d’être ACTEUR, d’apprendre autre chose, de s’émanciper, de s’épanouir en faisant quelque chose qui nous plaît et qui correspond à nos valeurs, de prendre des responsabilités. Pour ma part, l’engagement est primordial. Le fait de siéger à la Chambre d’Agriculture, à la MSA, d’être militante dans un syndicat de salariés, m’apporte une autre vision de mon métier et du monde agricole. Cela me permet de prendre du recul par rapport à mon propre travail, d’imaginer d’autres façons de faire ou d’aborder les choses, d’échanger avec d’autres personnes du milieu agricole, à niveau égal, sans logique de hiérarchie. Mes différents engagements m’ont énormément apporté et continue de m’apporter. Un message à transmettre aux salariés agricoles ? Ces 2 élections en 2025 sont l’occasion unique pour les salariés de la production de faire entendre leur voix. Pour les élections Chambres, c’est l’occasion unique de choisir l’organisation syndicale qui les représentera et les défendra dans les instances nationales, pour les 6 années à venir. Pour les élections MSA, c’est l’occasion unique d’agir et de participer à la vie de cette institution, 2nd régime de protection sociale. Alors, en 2025, VOTEZ pour faire entendre votre voix ! Et, sans attendre ce rendez-vous démocratique, décidez de participer et devenez d’ores et déjà candidats pour une de ces élections. Pour cela, rapprochez-vous d’une des 5 organisations professionnelles représentatives : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO. Isabelle CHEYNIER Salariée, 1ère Vice-Présidente MSA MPN, élue Chambre d’Agriculture en collège 3b Salariés des groupements professionnels agricoles. Elections MSA en mai 2025 Comment les salariés agricoles peuvent se situer dans les élections Chambres d’Agriculture en janvier 2025 et MSA en mai 2025 ? J’ai l’impression que les salariés agricoles ne saisissent pas l’importance de ces élections. Pour preuve la faible participation aux précédentes. A l’heure actuelle, nous constituons les listes et il est très difficile pour les élus de mobiliser, surtout les salariés des entreprises agricoles. L’information semble mieux circuler dans les organismes agricoles. Quels sont les grands enjeux de ces élections ? Dans un premier temps, il faut que les salariés s’engagent. Les élus (ues) doivent pouvoir représenter toutes les couches de la population agricole. Viendra ensuite le temps du vote. Plus la participation sera importante, plus on sera entendu et écouté. N’oublions pas que nous serons représentés (ées) dans les CA départementaux, régionaux et nationaux. Notre voix va compter. Comment l’engagement peut-il être source d’épanouissement ? Un engagement n’est jamais dévalorisant et permet de se sentir utile. Tout le monde a la fibre de l’engagement. Il faut la travailler et ne pas hésiter. Aujourd’hui, notre société a besoin de bénévoles. Le ou la délégué(e) en est un(e), qui peut s’engager dans une multitude de directions et porter la voix de ceux qui l’ont élu(e) dans de nombreux conseils d’administration. Un message à transmettre aux salariés agricoles
CPF : un reste à charge de 100 € par formation pour les salariés dès mai 2024
Maladie de Lyme et travail
Maladie de Lyme et travail. Comment se protéger ? La maladie de Lyme est causée par une bactérie qui se transmet par la piqûre d’une tique infectée. Les travailleurs pratiquant des métiers comportant des tâches extérieures présentent un risque de contact avec des tiques. Ce dépliant décrit les signes de… Ed6304 (3)Lire plus de publications sur Calaméo
DDETSPP 81 : Fortes chaleurs – Canicule – Mesures 2024
Fortes chaleurs – Canicule Des vagues de fortes chaleurs sont actuellement présentes sur le territoire (plus de 38 degré annoncé cette semaine par Météo France) et peuvent entraîner un risque sanitaire pour la population et les travailleurs. Les risques liés aux fortes chaleurs doivent être pris en considération par l’employeur dans le cadre de l’évaluation des risques (document unique d’évaluation des risques professionnels) et se traduire par un plan d’actions prévoyant notamment les mesures suivantes : – mettre en place une organisation adaptée pour limiter l’exposition des travailleurs aux fortes chaleurs (horaires décalés, pauses plus fréquentes …) et privilégier le télétravail lorsque cela est possible ; – informer les salariés sur les risques encourus (fatigue, maux de tête, vertige, crampes (…) pouvant entraîner des conséquences graves comme des coups de chaleur ou une déshydratation) ; – contrôler le bon renouvellement de l’air dans les locaux de travail fermés et surveiller la température des locaux ; – mettre à la disposition des salariés de l’eau potable et fraîche ; – fournir aux salariés des moyens de protection contre les fortes chaleurs et/ou de rafraîchissement ; – s’assurer que le port des protections individuelles sont compatibles avec les fortes chaleurs ; * Concernant les travailleurs en extérieur (secteur agricole, secteur du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP) …), l’employeur doit aménager leur poste de façon à ce qu’ils soient protégés des fortes chaleurs dans la mesure du possible. Il doit notamment mettre à la disposition des travailleurs : – un local de repos adapté aux conditions climatiques ou aménager le chantier de manière à permettre l’organisation de pauses dans des conditions de sécurité équivalentes ; – 3 litres d’eau potable et fraîche au minimum par jour et par salarié. * En cas de déclenchement par Météo France de la vigilance rouge, l’employeur doit procéder, au titre de son obligation de sécurité, à une réévaluation quotidienne des risques encourus par chacun des salariés en fonction : – de la température et de son évolution en cours de journée ; – de la nature des travaux devant être effectués, notamment en plein air ou dans des ambiances thermiques présentant déjà des températures élevées, ou comportant une charge physique ; – de l’âge et de l’état de santé des travailleurs. En fonction de cette réévaluation des risques : – l’aménagement de la charge de travail, des horaires et plus généralement de l’organisation du travail doivent être ajustées pour garantir la santé et la sécurité des travailleurs pendant toute la durée de la période de vigilance rouge ; – la liste des salariés bénéficiant du télétravail doit être réexaminée, en prêtant une attention particulière aux femmes enceintes, aux personnes souffrant de pathologies chroniques ou en situation de handicap … Si l’évaluation fait apparaître que les mesures prises sont insuffisantes, notamment pour les travaux accomplis à une température très élevée et comportant une charge physique importante (ex : travaux d’isolation en toiture ou de couverture, manutention répétée de charges lourdes), l’employeur doit alors décider de l’arrêt des travaux. Les agents de l’inspection du travail sont mobilisés pour vérifier que ces mesures de précaution sont bien appliquées. Les services de prévention et de santé au travail peuvent également accompagner les employeurs à prendre les mesures de prévention nécessaires. * Concernant les jeunes travailleurs, ils ne doivent pas être affectés à des travaux les exposant à des températures extrêmes susceptibles de nuire à leur santé (article D4153-36 du code du travail). Cette interdiction ne peut pas faire l’objet d’une dérogation. * Concernant les heures perdues pour cause de canicule en cas d’activation du niveau rouge par Météo France, celles-ci peuvent donner lieu à une récupération des heures perdues pour cause d’intempéries ou une indemnisation au titre du dispositif « activité partielle » si l’entreprise a dû interrompre le travail (article R5122-1 du code du travail). Les dirigeants d’entreprises du BTP peuvent s’adresser à la caisse régionale de congés intempéries du BTP en cas d’interruption du travail (article L5424-8 du code du travail). Des informations sont disponibles sur le site du Ministère du Travail : https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/guide_prevention_chaleur_2023.pdf Sur le site internet de l’INRS : https://www.inrs.fr/publications/essentiels/travail-forte-chaleur.html Pour les entreprises du BTP, le site de l’OPPBTP et de la FNTP : https://www.preventionbtp.fr/actualites/risques/un-guide-pour-faire-face-aux-fortes-chaleurs-et-a-la-canicule-dans-le-btp_yz7UjUQ9LJ93xNxmSVbw9Z Sur le site de Santé Publique France : https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/climat/fortes-chaleurs-canicule Le numéro vert « Canicule Info Services » est activé en amont ou en période de vigilance Un numéro vert (appel gratuit depuis un poste fixe en France), le 0 800 06 66 66, est mis en place, du 1er juin au 15 septembre, par la Direction générale de la santé. Il permet de répondre aux interrogations individuelles sur le risque canicule, y compris en milieu professionnel. Les appels sont gratuits entre 9h et 19h depuis un poste fixe. DDETSPP 81 Cité administrative – Bâtiment E – 18 avenue du Maréchal Joffre – 81000 ALBITel : 05 81 27 54 19 – travail-emploi.gouv.fr LES CONDITIONS CLIMATIQUES PARTICULIÈRES Les conditions climatiques particulières (froid, vent, pluies, fortes chaleurs, soleil) peuvent présenter des risques pour votre santé. Anticipez les effets de ces conditions climatiques en mettant en place des moyens de prévention adaptés. Conditions Climatiques Particulieres