Dans le cadre d’un projet régional, les associations de salariés agricoles d’Occitanie ont recueilli de nombreux témoignages de salariés agricoles. Après un travail d’analyse, de synthèse 10 fiches thématiques récurrentes à la problématique des relations salariés-employeurs ont été réalisées. Ces fiches agrémentées de dessins humoristiques vous proposent des éléments de réflexion, de sensibilisation et des pistes d’amélioration pour vous aider dans votre parcours de salariés agricoles . Bonne lecture Avoir de bonnes relations avec ses collègues Besoin d’être mieux reconnu dans son travail Communiquer pour mieux s’organiser Demander une revalorisation de salaire Garder la bonne distance avec son employeur Le stress au travail Les produits phytosanitaires : salariés, emplyeurs tous concernés Oser dire les choses à son employeur Réagir face à un désaccord avec mes emplyeurs S’organiser pour réduire les TMS
10 bonnes raisons de se former
Forestier
Forestier Quelle est votre formation ? J’ai fait le BEP élevage à Fonlabour et le bac pro à Flamarens pour me destiner à m’installer un peu plus tard sur l’exploitation familiale en bovins viande à Sérénac. Comment êtes-vous venu vers les métiers de la forêt ? C’était une opportunité d’emploi que j’ai trouvé à côté de chez moi et qui me permet de voir autre chose que les tracteurs et les vaches. C’est assez varié et intéressant, on fait de l’abattage, de l’élagage, du débardage au treuil et on prépare le bois de chauffage. Êtes-vous formé à ces métiers ? Non, j’ai appris en travaillant dans l’entreprise. Ça fait cinq ans que j’y suis et je pense continuer encore quelques années. Il suffit que le métier plaise et d’avoir un peu de volonté. Les deux principales activités sont le bois de chauffage et l’élagage en ville. Comment est organisé le travail ? Je travaille avec un stagiaire, un apprentis et l’employeur, puis il y a aussi deux bûcherons qui abattent en forêt. On travaille en équipe sur un secteur qui se limite entre Albi et Carmaux, on rentre tous les soirs chez soi, en tout cas, on ne sort pas du département. L’entreprise fonctionne dans un esprit familial du lundi au vendredi avec 35 heures par semaine. C’est un métier dangereux ? Il faut faire attention de ne pas se faire mal et aussi faire attention à ses collègues ; c’est important dans ces métiers qui s’effectuent manuellement. Je m’occupe du stagiaire avec le patron, pour lui apprendre les bases du travail. Pour manipuler les tronçonneuses, il vaut mieux savoir. Propos recueillis par Jean-Marc Serin
Bovin lait
Êtes-vous issu du milieu agricole et quelle est votre formation ?Mes parents sont agriculteurs et dans mon parcours scolaire j’ai fait un BEP, CAP et bac pro en mécanique agricole, puis j’ai commencé un BTS agro équipements que je n’ai pas terminé. Ensuite j’ai passé une période à me chercher un peu avec des études en assurance, puis un CAP de plomberie au cours duquel je me suis rendu compte de la difficulté des relations avec les clients ; pour revenir finalement vers l’agriculture avec le BPREA en formation adulte. Quels étaient vos objectifs en étudiant la mécanique agricole ?C’était d’être capable de faire l’entretien et de réparer les tracteurs sur la ferme familiale. En électricité et en hydraulique ce sont juste des notions théoriques mais pour la mécanique j’ai des bases qui peuvent me servir. Et après ces différentes orientations, comment a commencé votre vie professionnelle ?J’ai travaillé pour le service remplacement, pendant un an, plutôt spécialisé en élevage bovin lait de par ma formation avec la ferme familiale ; pour la traite, j’étais tout de suite opérationnel. Ensuite, j’ai été embauché pendant neuf mois comme ouvrier agricole à Flamarens pour la grande culture et l’élevage laitier où je devais encadrer des élèves de toutes origines. Je me suis rendu compte des différents types de personnalités, ça allait de ceux qui croyaient tout connaître, en passant par des jeunes très autonomes et jusqu’à ceux qui découvraient le métier ; c’était enrichissant, j’aimais bien mais à cette période je trouvais qu’il y avait des problèmes d’organisation. Et actuellement, comment est organisé votre travail ?Je travaille à mi-temps sur cette exploitation bovin lait où je suis présent en alternance une semaine du mardi au jeudi et une semaine le mardi et le mercredi. Mers horaires sont définis de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h plus éventuellement des remplacements en cas de besoin. Le recrutement s’est fait par connaissance, j’étais disponible et d’une ferme voisine. Quelles sont les tâches qui vous sont confiées dans votre métier ?Le matin j’aide à la traite et mes journées sont organisées en fonction des besoins de l’exploitant. J’effectue les travaux des champs ou je nettoie les bâtiments, je donne des soins aux animaux ou je les transfère de lieu…, je repère les vaches en chaleur et je participe à faire les vêlages. Ce sont des travaux assez variés qui se définissent au jour le jour. Je bénéficie d’un bon relationnel et d’autonomie dans le travail. Pour l’avenir, je suppose que vous envisagez plutôt un emploi à pleintemps ?En effet, il est prévu que je sois embauché pendant quelques années chez mes parents, aussi à mi-temps en gardant mon emploi actuel. Quand mes parents seront à la retraite, je risque de m’installer en conservant, si c’est possible, mon emploi à mi-temps. Avec votre situation, le statut de salarié vous convient-il ?Oui, je peux m’organiser pour concilier vie familiale et vie professionnelle et je n’ai pas le travail de gestion de l’exploitation, je peux consacrer du temps à mes loisirs, ça me permet de continuer à jouer au rugby à 13. Propos recueillis par Jean-Marc SERIN.
Polyculture élevage
Se sentir bien dans son corps et dans sa tête Depuis combien de temps êtes-vous salarié agricole ? Pouvez-vous me décrire votre métier ? Salarié agricole depuis dix ans sur une même exploitation en polyculture au sein de laquelle on trouve un élevage bovin (blonde d’aquitaine), des cultures céréalières avec une partie en irrigation, une culture spécifique labellisée à savoir l’ail rose de Lautrec, mon métier consiste à répondre et à m’adapter aux exigences des diverses productions. Technicité, perspicacité et volontarisme sont les clés qui permettent d’y parvenir. Êtes-vous issu du milieu agricole, de la région (canton, département) ? Quel est votre niveau de formation ? Avez vous fait des études agricoles ? Originaire du département, j’ai accumulé dès l’âge de 15 ans des jobs d’été en agriculture. Mais n’étant pas directement fils d’agriculteur, je n’ai pas suivi un cursus scolaire agricole, mais des études supérieures classiques. Pourquoi vous êtes-vous orienté vers le salariat agricole ? Et vers votre secteur de production actuel ? Quelles sont les tâches que vous préférez ? Qu’est-ce-qui dans votre travail est une source de motivation et de satisfaction au quotidien ? Le salariat agricole s’est imposé à moi car il répondait à plusieurs critères : métier « non délocalisable » au sein même de ma région d’attache et diversité dans le travail au quotidien. C’est un métier qui couple les capacités d’analyse et une bonne condition physique qui fait qu’on se sent bien « dans son corps et dans sa tête » . Les tâches les moins répétitives restent les plus motivantes. La satisfaction vient naturellement lorsque un travail méritant est reconnu à sa juste valeur. Qu’appréciez-vous le plus dans vos conditions de travail ? Comment a évolué votre responsabilité ? Appréciez-vous la(les) responsabilité(s) qui vous est(sont) donnée(s) ? Quels sont selon vous, les avantages à être salarié agricole plutôt qu’agriculteur ? Dans les conditions de travail, c’est l’autonomie que j’apprécie le plus. Les responsabilités sont une preuve de confiance et sont toujours valorisantes ; cependant elles ne dépendent pas uniquement de la qualité de notre travail mais aussi de l’ouverture d’esprit de l’employeur. Quant aux avantages d’être salarié, je n’en vois aucun, quand on aime ce métier on est salarié par défaut. En terme de condition de vie et situation familiale, quels sont les avantages selon vous ? En condition de vie c’est de travailler à proximité, on évite les heures de transport en commun ou les bouchons. Quels avantages selon vous en rémunération et avantage en nature ? La rémunération de base est trop faible pour en vivre. Souhaitez-vous continuer dans le salariat agricole ? Avez-vous des objectifs professionnels ? des projets d’évolution ? Pour l’avenir, le salariat agricole est le meilleur tremplin qui soit en vue d’une hypothétique installation. Dans un monde agricole qui peine à renouveler les générations, installer un jeune issu du salariat est une garantie de compétences et d’adaptabilité. Quelles qualités, compétences souhaiteriez-vous mettre en valeur auprès du grand public ? Si le poste occupé n’est pas un poste répétitif (triage d’ail, taille de vigne) le métier peut être une véritable source d’épanouissement. Il demande à la fois des qualités physiques et intellectuelles qui le rend complet. Quel(s) message(s) souhaiteriez-vous donner auprès de personnes en recherche d’emploi et attirées par l’agriculture ? Le monde agricole n’étant plus familial mais industriel, il demandera de plus en plus une main-d’œuvre qualifiée et compétente. Sa diversité et sa technicité grandissante offre, à mon sens, de belles opportunités de carrière pour des postes qualifiés. Le plus gros atout est l’avenir : l’apprentissage du métier et les opportunités qu’il offre, permettent d’évoluer parfois vers une installation personnelle. Aujourd’hui, avez-vous le sentiment d’avoir atteint vos objectifs ? Et enfin, quelle est votre plus grande satisfaction dans votre situation professionnelle actuelle ? Mes objectifs sont en passe d’être atteints. Ma satisfaction dans la situation actuelle, c’est d’avoir atteint un niveau de compétence équivalent à bon nombre d’agriculteur. Propos recueillis par Jean-Marc SERIN.
Grandes cultures
Grandes cultures Quelle formation as-tu suivi ?J’ai un bac STAE production animale, un BTS ACSE et un BTS GDEA (Génie Des Équipements Agricoles) que j’ai fait en alternance avec un concessionnaire de machines agricoles. J’ai fini en juillet 2007 et j’ai passé tous les permis : poids lourd, super lourd, matières dangereuses et FIMO. Comment s’est passé le recrutement ?J’ai postulé à la CUMA en décembre 2007 et j’ai commencé en mars 2008. De janvier à mars 2008, ils m’ont envoyé en formation mécanique à Toulouse chez un concessionnaire moissonneuse et ensileuse CLAAS, partenaire de la CUMA. Pour la conduite, j’avais les bases en étant issu d’une famille du milieu agricole où on est chauffeur d’ensileuse de père en fils. Quels sont les attraits que tu trouves à ce métier ?Je suis surtout intéressé par la conduite, ce qui m’occupe environ sept mois de l’année. De mi avril à fin octobre je conduis au moins deux fois par semaine. Les mois d’hiver, je suis à l’atelier pour l’entretien et les révisions du matériel en accord avec nos partenaires. C’est un métier qui s’exerce tout seulEn effet, mais ce n’est pas gênant. En étant seul, on réfléchi à sa sécurité, je pense que l’on travaille plus intelligemment, j’en ai pris l’habitude pendant mes deux mois de formation en concession. Quelles sont les subtilités du métier ?Il faut connaître les réglages des machines, par exemple en céréales c’est différent d’une variété à l’autre, si c’est de bonne heure ou en milieu de journée, … Les réglages changent d’une marque à l’autre et en fonction des conditions climatiques. 80 % de mon temps, je conduis le matériel de la CUMA, je le connais bien, c’est un avantage. Quelle est la dimension de la CUMA ?La CUMA des éleveurs de la vallée du Girou compte environ 80 adhérents et 30 adhérents pour la CUMA de Valmont qui est celle de l’ensilage. Comment faire pour gagner la confiance d’autant de personnes ?Ça vient avec le temps, en pratiquant les différents exploitants. Quand je travaille chez eux, je vois si ça leur convient ou pas et donc je m’adapte en fonction de ce qu’ils attendent de mon travail. Au début c’est un peu difficile, mais quand la relation de confiance est installée je me régale de travailler pour eux. Quand les agriculteurs m’appellent directement c’est qu’ils sont satisfait de moi. Comment se répartissent tes heures de conduite ?Par ordre décroissant, le maximum c’est en moissonneuse, puis en ensileuse, télescopique et camion polybenne pour les céréales. Le télescopique est souvent commandé en service complet. Pour l’ordre des céréales, on va commencer par les pois, l’orge, le colza, les blés (dur et tendre) où la priorité va être donnée au blé dur. Qu’est-ce qui est le plus intéressant ?C’est que les agriculteurs m’appellent directement et que je puisse m’organiser. Au bout de ma quatrième année c’est mieux, je prends l’habitude de la gestion des chantiers. La première année a été dure, avec des pannes, beaucoup d’herbe par terre et les menaces de pluie, les agriculteurs perdaient la patience… Aujourd’hui, comme j’interviens sur un grand secteur géographique, les tournées s’échelonnent sur le temps avec les différentes conditions climatiques. D’une année sur l’autre, l’organisation ne change pas beaucoup et en amont, je prends l’initiative d’aller voir les exploitants pour discuter avec eux de l’avancement des travaux. Propos recueillis par Jean-Marc Serin
CQP
Vigne
Le métier de la vigne Quel était ton intérêt pour travailler dans la vigne ? Il y a les intérêts communs aux métiers agricoles, c’est à dire d’être dehors et de profiter de la nature. En particulier dans la vigne, du fait que ce soit une plante pérenne, on a une relation qui s’établit dans la durée, parce que l’on forme les souches, on travaille sur le long terme, on a une relation directe avec la plante. On a un suivi, on s’attache au terrain, en sachant que la plante était là avant nous et y sera surtout longtemps après, on est de passage. C’est lié à ta formation ou une passion pour la viticulture ?J’étais venu juste pour vendanger et j’ai fais une belle rencontre, je me suis dit : « je reste dans la vigne ». Je me suis renseigné pour me former et j’ai été orienté vers la MFR de Bel Aspect, je me suis inscrite et dix jours après je commençais la formation. Et ta formation de départ ?Rien à voir, j’ai fais une licence de suédois et une maîtrise biogéographie sur une lande calcaire sèche en pâturage intensif en Suède. Certaines connaissances servent quand même. Je me rend compte que d’autres personnes viennent de formations diverses, on voit la différence au niveau du vécu et du plaisir d’être là. Quels sont tes objectifs professionnels ?Je me plais bien là où je suis. J’ai besoin d’être stable pour travailler avec la vigne sur la durée et ne pas bouger d’une exploitation à l’autre. J’aurais aimé que l’on aille plus loin en aboutissement, que l’on vinifie le vin pour participer à une finalité qualitative. Le travail d’équipe est riche et de pouvoir dire, on a bien travailler dans toutes les étapes et on arrive à un bon produit à la fin, c’est quand même très satisfaisant. Mais l’idée est d’être bien là où l’on est et avec les personnes. Quelles sont tes motivations pour parler de ton métier à des jeunes en recherche d’orientations ?Ça fait plaisir de voir que l’on peu transformer la vision d’un métier que tout le monde croit ingrat et difficile. Ce n’est pas du tout mon vécu, ça reste assez physique, mais j’y prend beaucoup de plaisir et c’est important de le valoriser, l’agriculture en souffre trop. Les métiers agricoles sont beaucoup dévalorisé, il ne faut pas retenir que ce qui est pénible mais plutôt parler de ce qui est beau et qui nous fais avancer, de la richesse à travailler dehors et d’y prendre du plaisir. Certains arrivent par contrainte et d’autres n’osent pas y venir par méconnaissances. Moi c’est là où je veux être, le jour où j’ai rencontré une souche de Mauzac, je me suis dit que je ne voulais pas être ailleurs. C’est important d’être à l’écoute de la nature, de son terrain. En signant la convention d’accueil d’un stagiaire CQP vigne tu as accepté d’aider un salarié à obtenir une qualification. Quelle importance tu mets derrière cette démarche ?C’est un métier où on a toujours à réfléchir, toujours à apprendre et ce que l’on fait n’est pas un geste « bête » quoi ! Si on donne de soi à la vigne elle nous le rend. C’est important d’apprendre à regarder un peu plus loin que le quotidien, de transmettre des notions pour motiver et éviter la lassitude, voir que ce que les autres ont fait est chouette. Accompagner un salarié de l’ESAT c’est être avec une personne qui va avoir plus de ressenti, du feeling que l’on a pas forcément parce que l’on est attaché à des perceptions plus de surface, alors que c’est un métier qui demande d’avoir du ressenti, c’est la théorie et être à l’écoute dans la pratique. C’est important de rassurer les gens sur leur capacité à ressentir les choses, c’est ce que l’on peut apporter de différent par rapport au formateur. Propos recueillis par Jean-Marc Serin Comment vous êtes-vous intéressé à la vigne ?Je suis venu faire un stage de quinze jours et j’ai demandé s’il y avait un poste de disponible… j’ai fais trois mois d’essai et je me suis intéressé au travail du sol, comme je connaissais déjà un peu ces travaux, ils ont décidé de m’embaucher. J’essaye de faire le maximum. J’ai suivi une formation pour la conduite du tracteur et comme je peux réaliser certains travaux, je veux bien aller un peu plus loin. Pourquoi s’inscrire à une formation qualifiante telle que le CQP ?Ce sera la première formation qui me permettra de valider un diplôme en vigne. Il y a plusieurs module plus ou moins difficiles. Ça m’intéresse beaucoup, c’est important pour moi d’être un peu plus autonome et de développer mes compétences. J’aimerais arriver à travailler sans l’aide de moniteur, venir ici et aussi aller chez un autre employeur. Quatre année de formation pour quel objectif professionnel ?Oui, quatre années c’est long, mais quand on nous a réuni pour nous présenter cette formation, on était tous contents de pouvoir la suivre. Cette qualification montrera que l’handicap ne nous empêche pas de réaliser beaucoup de travaux. Pour l’instant, il faut que je m’habitue à mémoriser les notions théoriques, j’ai envie de réussir. Que représente la rencontre avec un tuteur salarié professionnel ?C’est intéressant de travailler dans des domaines différents et avec d’autres personnes. En discutant avec des personnes du milieu viticole, je vois de quoi ils parlent et je comprends les notions. Le projet est bien pour nous. Comment avez-vous vécu le concours des rencontres internationales de salariés ?C’était bien organisé et j’étais content de participer, les gens que j’ai rencontré étaient très sympathiques. L’épreuve théorique était un peu dure pour moi et parfois j’ai répondu un peu au hasard, il faut dire que c’était la première fois, il y avait beaucoup de monde et j’étais un peu stressé. Etes-vous prêt à vous inscrire au concours de taille de vigne proposé cette année ?J’ai envie de participer. L’épreuve théorique sera un peu difficile, mais c’est bien de bouger et de venir à la rencontre d’autres salariés pour acquérir d’autres capacités. Quelle image
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